lundi 2 mars 2015

40 - Petite Promenade en Foret de Fontainebleau...(Coquibus) Le Chapeau de Napoléon - Bois de la Claie - Baudelus

La Foret de Coquibus

Petite Histoire


Les 39 randos précédentes ce situaient dans la foret historique, avec les quatre prochaines promenades nous sortons du bornage de François I. 
 Situé entre Arbonne et Milly, Coquibus est une partie du massif forestier des Trois Pignons l'ensemble représentant environ 3 307 ha à cheval sur les départements de l'Essonne et de la Seine et Marne. Séparé de la foret historique par le village d'Arbonne, et l'autoroute du sud, il communique en directe avec la foret des Trois Pignons. On y retrouve comme dans l'ancienne foret de bière des dunes, des rochers, et un peut moins d'histoire. 
Il faut en effet se rappeler qu’au contraire de la forêt domaniale de Fontainebleau, issue d’un ‘’héritage’’ historique homogène relativement local et circonscrit, l’espace forestier domanial des ‘’Trois Pignons’’ est formé d’acquisitions ONF relativement récentes, constituées de parcellaires extrêmement nombreux et variés. De plus, la proximité de villages aux limites contiguës et parfois imbriquées dans celles du domaine forestier. (Les cinq dernières phrases proviennent du site : (http://www.aaff.fr/images/BORNAGES/Bornages-3P.pdf)

Un peu d’histoire.
Au XIIIe siècle, les Templiers fondent à Arbonne une commanderie, qui devient par la suite
le prieuré des hospitaliers de Saint-Louis. Les hospitaliers possédaient, depuis le XIIe
siècle, une chapelle dédiée à Saint Blaise, au lieu-dit Baudelu.
En 1348, les Anglais s’avancent jusqu’aux portes de Paris incendiant le pays. A la suite de
la bataille de Poitiers des aventuriers anglais, navarrais, brabançons se répandent dans le
Gâtinais, pillant, brûlant, torturant. Ils s’emparent le 4 août 1359 de la porte de Melun et le
15 du même mois brûlent l’abbaye du Lys. L'église d'Arbonne subit le même sort, la
maison du commandeur de la commanderie de Baudelu également en 1385. Les
templiers abandonnent les lieux au profit des seigneurs de Fleury qui transforment sa
Dans le massif de Coquibus, il y avait de grandes fermes, dont notamment la ferme de Coquibus, la ferme du Mont Rouget et celle des Grandes Vallées. Celles-ci vivaient de l’élevage d’ovins et de la culture dans la plaine.’’
 Dans l’histoire de Milly-la-Forêt : ’Fermes et Ecarts : Il n’existe pas de hameau à proprement parler dans la commune de Milly. Il n’y a que sept fermes et quelques écarts. Les sept fermes sont : Le Tertre, Le Corbeau, Le Paly, La Grange-Rouge, Le Coudreau, Coquibut, Saint-Georges.
Les cinq premières sont situées à l’ouest de Milly,.... Coquibut est à l’est, ainsi que Saint-Georges ...
De ce fait, il ne faut pas s'imaginer ce secteur comme une foret touffu mais plutôt, comme une terre pauvre de culture et d'élevage. Pauvre, parce-qu’il ne pousse pas grand chose dans le sable, j'ai extraie cette légende d'un site internet : Suivante laquelle en l’année 995 « les arbres s’enflammaient dans les champs sous les rayons du soleil » ; on nous assure que ce phénomène se produisit également en l’année 1800. (http://milly91490.blogspot.fr/2009/12/incendie-coquibus.html)
J'ai connu dans les années 80 (non....... pas 1800, mais, 1980 je ne suis pas si vieux que cela.) ce secteur beaucoup plus désertique qu'aujourd'hui. Landes de bruyère, jeunes boulots et rochers, cela nous changeais de notre foret historique.  
Pourquoi : Coquibu, Coquibut, Coquibus ?
Coquibu, lieu-dit de la commune de Milly est un vaste plateau autrefois en culture. Au milieu s’élevait une ferme abandonnée vers 1880 ....
Le premier cadastre (1815)..., donne COQUIBU, sans T ni S final. Les cartes d’Etat-Major de l’ancien Service Géographique de l’Armée, antérieures à 1950, mentionnent COQUIBU. Par contre, sur la feuille au 1/50 000è en couleurs de 1953 et éditée par l’Institut Géographique National on trouve, pour la première fois à notre connaissance COQUIBUS, avec l’S final ....
Coquibus, nous dit J. Lutrat, doit très certainement son nom à un personnage : Coquibus, Gorgibus, Gougibus, Bornibus paraissent être d’anciens sobriquets de latin macaronique, plus ou moins ironiques ; Coquibus, sobriquet signifiant ‘’sot’’, niais en ancien français, tiré de coq avec une finale latine ...
Pour Paul Lebel, dans ‘’Les noms de personnes’’ : Ce sont peut-être des étudiants qui auront imaginé, par plaisanterie, les terminaisons en ‘’-ibus’’, empruntées aux datifs latins ; le mot rasibus date du XIVe siècle ; la finale ‘’-ibus’’ remplace à cette époque ‘’-art’’ dans coquart pour donner ‘’coquibus’’ (niais) devenu nom de personne ...
Et toujours selon Mr J. Lutrat : autrefois et jusqu’à une époque assez récente, le toponyme ‘’Coquibus’’ n’était pas précédé de l’article défini ‘’le’’. C’est l’auberge, sur la route de Fontainebleau à la sortie de Milly, qui a mis en vogue l’appellation ‘’Le Coquibus’’, tout comme on dit : ‘’Le Chapon fin’’, ‘’Le Commerce’’, etc... en parlant d’un hôtel ou d’un restaurant.
 Enfin, selon Mr Raymond-Auguste Geber, historien de Milly , ‘’Coquibu’’, orthographe courante... a son origine dans un fait caractéristique en relation avec une mare dans laquelle but un coq de bruyère... COQ Y BU. La désignation de ‘’Coquibut’’ n’en est pas moins conforme à la vérité... COQ Y BUT... ‘’Coquibus’’ est une désignation tardive et ne date que de la construction de l’Auberge ‘’Le Coquibus’’ ..

Pour une carte plus grande

ferme aurait été en fonctionnement jusque vers 1850, puis la maison serait devenue celle d’un garde chasse. Le dernier héritier a fait don du bâtiment et des terrains à ’Assistance Publique de Paris’ pour en faire une maison d’enfants mais faute d’électricité et d’eau, le domaine a été vendu à l’Etat en 1965. C’est devenu la première partie de la forêt des Trois Pignons.

Au début du XXe siècle, elle fut exploitée par les grands parents de Claude Martin, ancien agriculteur à Oncy. Ceci prouverait qu’il y avait des champs au lieu de bois tout autour... Puis ce furent des gardes qui l’occupèrent, et la ferme devint un pavillon de chasse. En 1968 elle devint propriété de l’Association des Amis de la Nature (nous passerons plusieurs fois au cours de nos randos devant cette ancienne ferme, isolé au sommet d'une dune.
Avant la Seconde Guerre Mondiale, tous les bois de cette forêt étaient propriété privée. Les Amis de la Foret, en 1943, en avaient demandé le classement ...Ce qui fut commencé en 1974.  La Déclaration d’Utilité Publique concernait 3200 parcelles détenues par 2000 propriétaires, la complexité de la procédure fut telle, que les achats ne furent terminés qu’en 1981..
  Extraie tiré du site : http://www.aaff.fr/images/BORNAGES/Ferme%20de%20Coquibus%20et%20ses%20myst%C3%A8res.pdf

Voilà ce que j'ai trouvé sur ce massif. Bonne promenade.......

 40 - Le Chapeau de Napoléon - Bois de la Claie - Baudelus

Juillet 2014 –



Carte IGN                            Trace GPS et Topo sans Commentaires

Trace Randogps                 Le code mobile de cette randonnée est b145532

 Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici

km   temps   arret   V/d   V/g   dénivelé
 11     2h30    0h45    4,4   3,3     195 +

Départ : D 409 entre Arbonne et Milly la Foret juste après le pont de l’autoroute sur la droite, il y a de quoi garer 4 à 5 voitures sans encombrer la barrière.

Nous empruntons le chemin de l’Auvergne (nous ne sommes plus dans la foret historique) même si le Coquibus et les trois pignons sont une continuation de la foret de bière. Ici un chemin porte le nom de chemin, alors qu’à Fontainebleau un chemin porte le nom de route. Coupons le chemin de la mare de l’Auvergne.  Arrivons au carrefour  de la plaine de l’Auvergne laissons deux chemins sur la droite et continuons notre allée formant un esse, puis prenons à droite le chemin de la Paisson aux moutons c’est une allée empierrée de calcaire. Puis à droite le chemin de Milly à Arbonne, un peu plus loin à gauche le sentier dans la parcelle 58 juste à la pancarte  c’est également le GR 11. Nous commençons à grimper un peu.
Nous débouchons sur le chemin du rocher du chêne (toujours le Gr) que nous prenons à droite. Puis à gauche dans la parcelle 47 un chemin sans pancarte (chemin de la plaine de bodelus nous le saurons plus loin. [Au XIIIe siècle, les Templiers fondent à Arbonne au lieu-dit Baudelu, une commanderie qui devient par la suite le prieuré des hospitaliers de Saint-Louis. En 1385, suite à l’incendie qui détruisit la maison du commandeur pendant les guerres du XIVe siècle, le chapitre du grand prieuré de 
France supprime la commanderie de Baudelu. La chapelle de Baudelu échoit aux Seigneurs de Fleury.] Nous avons quittez le GR. continuons tout droit.  Nous passons devant un cépée de hêtre à 8 futs (dont l’un plus petit). Nous débouchons sur un chemin empierré ne portant pas de pancarte et prenons à droite. Chemin de la juniperais [Dans la plaine de Baudelut ce trouve une Juniperais (genévrier) J’en avais une bon souvenir, venu exprès dans ce lieu avec une association dans les années 80 (1980) On semblait en être fier, c'était peut être rare, de trouver autant de genévrier sur une petite surface. Du moins à Fontainebleau. Mais aujourd’hui j’en ai été dessus. Ce n’est plus mon souvenir. Les genévriers vieillissant sont perdu dans la végétation. Je n’ai pas trouvé que cela valait un détour.] puis premier chemin à droite . Laissons sur la gauche la route du coquibus puis prenons à gauche le chemin du bois de la claie (il me semble qu’il y a un léger problème sur la carte avec les chemins.Difficile à suivre dans cette parcelle en régénération, étant mal marqué au sol, il devient sentier. Nous débouchons sur un chemin, continuons en face toujours le bois de la claie qui est devenue plus large. Nous débouchons sur une route sans pancarte, renforcé de gravillon que nous prenons à gauche (sur la carte chemin des côtes de Courances) laissons sur la droite le chemin des arcades on continue tout droit (ici aussi le nom des chemins ne correspondent pas a la carte) on laisse le GR 11 sur la droite nous continuons notre chemin des cotes de courances qui tourne sur la droite (on laisse le GR qui part sur notre gauche.) On grimpe raide et l’on traverse une ancienne carrière, en haut prenons à gauche le chemin de coquibus. Laissons le chemin  de droite et continuons tous droit nous sommes dans la lande de bruyère. Nous descendons et rencontrons sur la droite le GR 11 que nous prenons et grimpons dans les rochers.  Nous sommes dans le secteur de la mare aux joncs tristement célèbre par une disparition. En voici un résumé.  [A la Toussaint 1988, un couple de promeneurs avec leur chien 
disparaît dans le massif des Trois-Pignons. On retrouve les corps (ils avaient 25 ans tous les deux) au  mois de janvier, cachés sous des branchages. Deux chasseurs sont interpellés, le fils avoue puis se rétracte. La cour acquitte le père et le fils. L'énigme demeure toujours. Vous trouverez tous les détails de ce fait divers sur les sites internet.] L'histoire comptée dans les journaux est bien trop longue, pour figurer dans cette promenade. Elle comporte des rebondissements, puis s’endort à nouveau. Un jour elle se réveillera peut être pour mettre un point final à cette histoire.

Nous avions l’habitude ma femme et moi de nous promener dans ce coin. On aimait bien ses landes, de bruyère, souvent nous étions seul, peut être trop seul. Nous avons mis longtemps, très longtemps avant de revenir se promener dans le secteur.  Nous coupons la route de la gorge aux poiriers.

Continuons le GR sur la droite, nous traversons une zone qui à brulé en 2010 ou 2011 voici 

ce qui renait des cendres. Si, les arbres (chandelles) avaient été coupé, laissant quelques traces noirci  à leur pieds. Jamais on se serait douté des dégâts. J'ai traverser cette zone peut de temps après l'incendie lors d'une étape de mon périple : Arbonne-Soisy) Dommage à l’époque je n’ai pas pensé à faire de photos. La vue est dégagé les arbres étant tout petits. Sur la gauche les poteaux de Sainte Assise   [L'émetteur de Sainte Assise est un émetteur pour les ondes superlongues, installé au château de Sainte-Assise à Seine-Port en Seine-et-Marne, qui appartenait à la Compagnie 
Radio France filiale de la Compagnie générale de la télégraphie sans fil (CSF). GlobeCast, filiale de France Telecom est quant à lui désormais le propriétaire du téléport (transmission vers les satellites de télécommunication) de Sainte-Assise,
constitué d'un parc d'antennes paraboliques de grande dimension (de 4 à 16 mètres de diamètre).
Son antenne était portée par onze mâts de 250 mètres et cinq mats de 180 mètres. À son inauguration en 1921, l'émetteur était le plus puissant au monde et balayait une zone s'étalant entre les Amériques et le Japon.
En novembre 1921, y fut réalisé la première retransmission radiophonique française. Par la suite, le site a été un centre d'expérimentation pour la télévision.
Réquisitionné par la Kriegsmarine en 1941 pour permettre les communications entre Berlin et les U-Boots. Paradoxalement, Sainte-Assise n'a pas souffert des bombardements alliés et toutes les antennes ont survécu.
Comme prévu par la convention d'octobre 1920, le 1er janvier 1954, les PTT reprirent ces installations.
En 1991, une partie de la station est vendue par France Télécom à la Marine nationale, Centre de transmissions marine (CTM) de Sainte-Assise, pour les communications non-confidentielles avec les sous-marins. Le site, inauguré en 1998, est devenu un terrain militaire surveillé par une compagnie de fusiliers-marins.
Un mat de 250 mètres non relié à l'antenne reste la propriété de GlobeCast. Cette filiale de France Telecom est désormais le propriétaire du téléport de Sainte-Assise, situé sur un second site


 à proximité, qui sert de support à de multiples antennes paraboliques. Ces stations permettent l'émission des signaux montant vers les satellites de télécommunication, en particulier les signaux vidéo/audio pour la diffusion directe par satellite de services de télévision (et radio). En décembre 2000, trois mats inutilisés de 180 mètres ont été détruits]. Un peu sur la droite l’immeuble « plein ciel » de Melun nord (Le Mée sur Seine) repérable à sa forme particulière trois tours d'habitations relier à une tour centrale comportant des passerelles desservant les étages. [Plein-Ciel tire son nom du Tripode. En arrivant au Mée-sur-Seine, vous ne pouvez pas manquer cette résidence imposante bâtie dans les années 1960, composée de trois ailes, véritable phare du secteur.] et en bas la plaine de la bière (La forêt de Fontainebleau, autrefois appelée forêt de Bière (dérivé de bruyère).
On ne retrouve pas les stigmates du feu sur les rochers il me semble que le feu les a nettoyer et aujourd’hui je remarque les traces rouge-marron dans le grès : certainement l’oxyde de fer . Nous débouchons à nouveau sur un chemin renforcé de calcaire que nous prenons à droite. (Chemin de la passée.) Ce chemin devient pavé certainement pour aider le charroi des charrettes chargées de pavés, Les carrières de grés : [les autorités locales à interdire par un arrêté publié en 1907, l’extraction du grès dans tous les massifs du domaine de l'ancien bornage Royal. La poursuite du commerce de la pierre  fut encore autorisée dans les parcelles privées situées autour des  Trois Pignons, du Coquibus  et de la plaine de Chanfroy. Mais un arrêté de 1982 interdit définitivement toute exploitation en ses nouvelles limites domaniales, rachetées par expropriation des propriétaires locaux, ou récupérées à l'Armée. La dernière carrière, située au Coquibus, ferma définitivement en 1983. Une carrière a cependant été ouverte en 1987 sur le territoire de la commune de Moigny-sur-Ecole.] (http://randos-conviviales.over-blog.com/article-les-abris-de-carriers-de-fontainebleau-1ere-partie-100184475.html
Puis à gauche le chemin des grandes vallées qui ne ressemble pas à un chemin, trop d’herbes, 
trop de ronces, en son milieu l’espace libre pour y poser un pieds, permettant d’avancer sans se faire piquer par les orties. Puis à droite un chemin qui ne porte pas de pancarte, et est légèrement mieux que le précédent. (Chemin de la vieille grange.) Puis à gauche chemin de la limite départementale (entre Seine et Marne et Essonne) le chemin fait un petit nœud nous prenons la branche de droite puis nous l’abandonnons pour continuer par un chemin qui n’a pas tout de suite de pancarte, on laisse un chemin sur la droite puis nous trouvons une pancarte nous informant que nous sommes sur le chemin du chapeau de napoléon. La carte n'est pas très claire ou plutôt trop clair dans ce secteur. Laissons se chemin sur la gauche et continuons tout droit (pas de pancarte) laissons un chemin sans nom et nous apprenons que nous sommes sur le chemin des découvertes. Poursuivons par ce chemin. Laissons sur la gauche le chemin de la maison de la montagne, grimpons par la droite, le chemin devient sentier. Après le carrefour des vieilles maisons nous grimpons, dans un virage sur la droite nous quittons le chemin pour prendre
  entre les rochers, une piste peu ou pas visible de ce coté. le principale c’est de monter au sommet pour trouver le chapeau de napoléon. Je n'ai pas chercher un autre itinéraire pour ce retrouver au sommet. En prenant le chemin de la Montagne on doit pouvoir retrouver avant la maison forestière un sentier sur la droite permettant de gravir cette "montagne" on redescend par le même chemin. Un châtaignier nous cache un peu se monument qui se dégrade de plus en plus. [au sommet d’un piton qui domine la nouvelle Maison forestière de la Vendée (ex Maison Montagne) culmine une curieuse tour. Elle est mentionnée sur la carte IGN/ONF à l’endroit du site connu sous le nom de « Chapeau de Napoléon ».
La façade de cette construction insolite représente un grand rectangle agencé de minces blocs de grès et surmonté d’un fronton semi-circulaire orné de figures géométriques dont une circonférence faite de petites briques ; le centre de celle-ci est précisé par un carré lui-même divisé en quatre portions. Le restant de cette sorte de tympan offre un ensemble de dessins asymétriques plus ou moins sophistiqués. Il semble que cet étrange monument fut érigé en hommage à Napoléon, par un ancien maçon et carrier, qui s’était installé là et vivait dans une grotte aménagée. Plus pressé de rendre hommage à son héros que de se bien loger, il entreprit sur la butte voisine la construction d’un monument. Quand il estima son œuvre achevée, il construisit sa propre maison qui est devenue la Maison Forestière de la Vendée.Ce curieux bâtiment répondait au nom de MONTAGNE d’où la désignation primitive donnée à la demeure de notre maçon carrier. La grotte dans laquelle vivait ce bonhomme notoirement original subsiste toujours ; elle se trouve englobée dans la cave, unique en son genre, du poste forestier. http://milly91490.blogspot.com/2014/09/la-tour-du-chapeau-de-napoleon.html] . Au sommet sur la gauche un sentier nous permet de redescendre sur un chemin. Attention dans ce secteur vous avez la  maison forestière de la Vendée. Donc nous descendons en appuyant plutôt sur la gauche nous débouchons sur un chemin que nous prenons à gauche c’est le chemin de la maison de la montagne, au carrefour nous prenons à droite un chemin ne portant pas de pancarte. Laissons un chemin sur la gauche, continuons tout droit. Nous débouchons sur un chemin que nous prenons à gauche et nous reconnaissons l’intersection avec son rocher cubique, nous retrouvons notre chemin de l’Auvergne que nous prenons à droite et que nous suivons jusqu’au parking.  


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