vendredi 5 juillet 2013

GRP de la Vallée du Lunain retour Orvane étape 9 Dormelles-Ecuelles

GRP de la Vallée du Lunain retour par l'Orvane étape 9


En avril, je découvrais la vallée du lunain (voir page http://randosacaudos.blogspot.fr/2013/05/grp-de-la-vallee-du-lunain-etape-1.html
les cinq premières étapes  sont décritent dans le mois d'avril 2013.
Aujourd'hui, je parcours la branche de l'orvanne


 

 Carte IGN                         Trace GPS & Topo sans Commentaires               

 Trace Randogps                          Le code mobile de cette randonnée est b303659                             
                                                                        (Explications Code Mobile)


KM       Temps    V/d     V/g    Dénivelé

25 km      4h50                 5,2     363 +



Dormelles-Ecuelles-Dormelles

C’est reparti, part un petit bout de la ville de Dormelles. Je me gare sur l’herbe devant une maison d’un nouveau lotissement, qui se trouve juste devant le chemin parcouru la fois dernière. Mon départ se fait à l’intersection de la D 210 (route de Villemaréchal) et de la rue des Sablons C’est le GRP. Laissons un chemin sur la gauche et la rue Saint Martin sur la droite, poursuivons tout droit sur certaine carte la rue des sablons devient des sables, nous entrons dans un bois, ou nous apercevons quelques rochers comme à fontainebleau. La rue fait fourche nous prenons à droite. Le chemin tourne sur la gauche et fait fourche laissons un chemin sur la droite. Le chemin fait fourche laissons la branche de droite. Nous débouchons sur un chemin faisant Té nous prenons à droite, nous débouchons route de la Garenne que nous prenons également à droite. Toujours le GRP (Dans le virage on peut prendre le chemin longeant le bois, il coupe le virage de la route si le chemin n’est pas passé sous le socle de la charrue.) Nous arrivons aux premières maisons de Challeau. Nous débouchons sur la D 22 (route de Challeau) que nous prenons à gauche, puis à droite la rue des ponts nous longeons un vieux château en ruine. [ Forteresse de Challeau : Elevée au XIe siècle dans les marais de l'Orvanne, entre Dormelles et Villecerf. Elle est formée d'une simple enceinte rectangulaire flanquée de quatre tourelles d'angle reposant sur les encorbellements de forme tronconique d'un modèle assez original, défiant l'équilibre. Plus tard, elle a été renforcée par une poterne du XIe siècle, puis par une enceinte avancée, régulièrement percée de meurtrières dont une partie existe encore. Le fort de Challeau n’est pas à proprement dit un château fort, mais plutôt une place forte de taille réduite. Sa position stratégique dans la commune de Dormelles permettait probablement à l’époque de surveiller les alentours, malgré qu’il n’est pas du tout sur une position dominante, notamment très marécageuses et point de passage vers l’Yonne actuel. Sa fonction principale était de servir de point de replis pour les villageois et les soldats. Sa taille très modeste ne comprenait donc à priori pas de garnison importante et permanente, tout au plus quelques gardiens ou une petite unité. Ses murs ont une trentaine de mètre de longueur et en largeur de 24 mètres dont une épaisseur correcte pour l’époque de 1.30 mètres et une hauteur de 6 à 8 mètres. Il semble qu’il n’y a pas eu d’habitations mais de simples constructions légères permettant de s’abriter.
Il est assez clair que ce fort spartiate n’était pas du tout préparé à un long siège ou d’une attaque frontale de grande envergure, il s’agit tout au moins de protection faible mais efficace face à des brigands ou autres.
Le château peut être daté du XIII° siècle. Il est cité en 1367. (Suivant les sites parcourus deux siècles d'écart pour la construction.)

Il a appartenu à Bouchard III de Montmorency , Chevalier Conseille Chambellan , inquisiteur des eaux et forêts Seigneur de Saint Leu , Nangis et La Houssaye.
La guerre de Cent ans aura apporté une modification majeure, avec l’ajout d’une basse cour fortifié comportant des meurtrière canonnière, adapté aux nouveautés des armes à feux. On notera que les meurtrières canonnières sont à hauteurs d’hommes pour la basse cour et en hauteur pour la première fortification.] Traversons la fausse rivière et le marais (par la route et à pied sec) puis l’Orvane nous arrivons au hameau de la Vallée de Dormelles toujours le GRP. Nous débouchons rue des moulins (peut être la C18) que nous prenons à gauche. Longeons un terrain de sport. Nous gardons la route jusqu’au hameau de Pilliers, traversons le Bourg, nous rencontrons le GR1. Maintenant nous sommes commun GRP et GR. Laissons sur la gauche la rue du lavoir, poursuivons le GRP jusqu’à la fourche entre la route de la Vallée et le chemin des Roulis que nous prenons sur la droite bois et champ se succèdent. Nous débouchons sur la D403 et nous faisons un esse gauche, droite et nous prenons la route de Montarlot et traversons le petit village de Fondoire. A la sortie du village nous prenons à gauche le chemin de la Perche (GR et GRP) Coupons l’Orvanne et la ru des Bouillons, nous arrivons à Villecerf. Coupons la rue Grande et prenons en face la rue (chemin de la Perche) nous arrivons face à l’église prenons la rue de l’église sur la droite poursuivons cette rue en laissant le chemin pavé sur la droite. Poursuivons le bitume longeons le cimetière et la montagne du Trin. Dans le virage en esse gauche, droite, nous quittons le bitume pour prendre le chemin sur la gauche nous sommes toujours sur le GR et le GRP et contournons cette montagne de sable. Le balisage nous fait quitter la lisière du bois pour traverser les champs laissons les chemins de droite et de gauche, nous débouchons sur un chemin formant Té que nous prenons à droite et au second chemin formant Té nous prenons à gauche. Nous arrivons rapidement à Ecuelles, la boucle est bouclée, nous venons de terminer les GRP de l’Orvanne et du Lunain. Reste maintenant à retrouver la voiture …

On pourrait appeler l'Orvanne le ruisseau des lavoirs, tous plus beaux les uns     
                      que les autres. Dommage que ce village n'a pas sut préserver le sien. Pourtant
                      l'entrée dans celui-ci est sympa par un passage dans les jardins.

Nous débouchons rue de la Cateline au carrefour avec les rues des Châtaigniers et le chemin du Gueroy, nous nous quittons le GRP pour prendre à gauche la rue Cateline, puis à gauche la rue du Paradis ou nous retrouvons le GRP de Lunain de notre étape 1. A la fourche nous prenons à droite la rue du château d’eau. De rue nous passons à chemin dans les champs menant aux réservoirs d’eau et au pylonne. Nous abandonnons le GRP pour prendre le chemin de gauche, il fait un esse au niveau du bois et débouche rue du Paradis, que nous prenons à droite sur quelques mètres à la fourche nous quittons le bitume pour prendre le chemin sur la gauche. Et je me casse ne nez sur un chemin desservant que les champs, prenons le premier chemin sur la droite et traversons le bois. Nous débouchons de nouveau sur la route du Paradis que nous prenons à gauche. Nous arrivons sur la D 22 (route d’Episy ) que nous prenons, peut de temps à gauche et tout de suite à gauche le chemin juste avant la pointe du bois de la Lune. Un bois sablonneux comportant quelques rochers. Je laisse le premier chemin prend le second. Je suis un peu gêné mon chemin  est barré par un gros câble. Je n’ai pas vu de propriété privé, mais chasse gardé, je me dis que le câble n’est la, que pour empêcher les voitures de rentrer dans le bois.  Le chemin débouche sur un autre formant Té, prenons à droite, puis il fait fourche prenons la branche de gauche. Nous traversons la montagne de trin. Par la suite cela ne s’arrange pas. Lorsque je grimpe, je trouve une grosse barrière métallique toute rouillée me coupant la route, je me rends compte que c’est une ancienne carrière de grès, qui c’est transformée en décharge, je me dis que la barrière est ancienne, toujours pas de clôture, ni de pancarte. Je passe sur le coté. Sur la crête des panneaux : "attention pièges", mais en même temps des traces de pneus de voiture et de motos, je reste bien sur le chemin le plus marqué au sol, Il y a pas mal de rochers dans le coin, on se croirait à Fontainebleau. Je redescends et j’arrive en vue de Villercerf, virage à 90° à droite en lisière du bois et d’un champ non clôturé. Le chemin fait de nouveau un virage à 90°à gauche et nous débouchons sur la D22Je ne saurais jamais si ce bois est privé. Le GRP le contourne. La solution pour ne pas revenir par le même chemin c'est de  suivre le bitume jusqu'à  la D22. Il serait dommage de ne pas traverser se bois qui ressemble à la foret de fontainebleau, mais voilà en a t’ont le droit ? J’arrive malgré tout sur la D22, que je prends à gauche car de loin j’avais vu de gros rochers dans la plaine, éloignés des sites sablonneux. Les Rochers sont en effet énormes. Masse de grès posé l’un sur l’autre, "la roche du saut" est une curieuse roche, d'une dizaine de mètres de haut, servent pour l’escalade ["la Roche du Saut" serait tombée de la hotte de Gargantua tandis qu’il transportait sur son dos les déblais tirés du Lunain, pour élever "la montagne de Trin". Une autre fois, « Gargantua souhaitant s’amuser un peu, dressa sa godiche (son but, le bloc soutenant la table du monument) au pied de la montagne de Villecerf et la visa avec un énorme palet. Le géant qui, pour une fois, n’était pas emmanché à l’envers, réussit un coup parfait. Le palet vint terminer sa course en plein sur la godiche et forma ainsi la Roche du Saut ».
La légende populaire à brodé des histoires avec des cailloux tombés de la hotte de Gargantua ?.
L'explication la plus logique reste celle d'une ancienne butte stampienne, dont le sable à disparu sous l'influence de l'érosion et seul subsiste le rocher gréseux.
Je reviens sur mes pas et prend sur la gauche le chemin dans les champs, laisse un chemin sur la gauche (chemin de Rebours) coupe un chemin (Rue de Rebours ) coupe la D403  poursuis en face. Laissons les chemins de droite et de gauche, coupons un chemin et prenons au carrefour sous la ligne à haute tension la route sur la gauche ( route Gallois) longeons puis pénétrons dans le bois brûlé. A la sortie du bois prendre le chemin en lisière sur la droite. On peu poursuivre la route jusq’à la stèle du Pimard [En hommage aux résistants et aux victimes de la guerre et du nazisme du Canton de Moret, une stèle a été érigée au Pimard et inaugurée le 27 Août 1994, dans le cadre des manifestations départementales pour le 50ème anniversaire de la Libération de la Seine et Marne. http://www.dormelles.fr/index.php?pageId=rubriques&rubrique_id=4&sous_rubrique_id=9&article_id=150 ]. Nous traversons la D 218, poursuivons en face traversons le bois, coupons un chemin, après un virage à droite le chemin fait fourche nous prenons à gauche sortons du bois, nous retrouvons la route de Dormelles que nous prenons à droite, traversons le bois des Corbeaux laissons les chemins à droite et à gauche et l’on rejoins le parking par le chemin des Sables ou se trouve la voiture. 



jeudi 4 juillet 2013

GRP de la Vallée du Lunain retour Orvane étape 8 DIANT - Dormelles


GRP de la Vallée du Lunain retour par l'Orvane étape 8

En avril, je découvrais la vallée du lunain (voir page http://randosacaudos.blogspot.fr/2013/05/grp-de-la-vallee-du-lunain-etape-1.html
les cinq premières étapes  sont décrites dans le mois d'avril 2013.
Aujourd'hui, je parcours la branche de l'orvanne
En avril, je découvrais la vallée du lunain (voir page http://randosacaudos.blogspot.fr/2013/05/grp-de-la-vallee-du-lunain-etape-1.html les cinq premières étapes sont décritent dans le mois d'avril 2013.




Trace Randogps                        Le code mobile de cette randonnée est b303609                                    

 DIANT - Dormelles - DIANT

Novembre 2012
 km     temps  V/d     V/g    dénivelé
26,5    5h06    5,3                251 +


Le départ se fait de Diant, un petit parking se trouve devant la Mairie.
Nous retrouvons notre GRP de l’Orvane [affluent du Loing et par conséquent sous-affluent de la Seine. long de 38,9 km. Elle prend sa source au nord de Saint-Valérien et se jette dans le Loing à Moret-sur-Loing dans la commune d'Orvanne. Elle est appelée Ravamus au Haut-Moyen Âge. Wikipédia] On remonte la rue Grande, nous passons devant l’église, et suivons la rue  jusqu’au chemin des forges (3ème à gauche) j’ai eu un peu de mal à trouver, on attaque directement dans les champs. Le chemin fait un esse gauche – droite et change de nom sur la carte, il se nomme chemin de Bonneau. Nous arrivons au charmant village de Voulx, nous passons le chemin du Gué longeant le cimetière traversons l’Orvane ou nous faisons le tour de "l’ile" quartier entouré par la rivière. Nous prenons après avoir traversé le bras d’eau la rue des Tilleuls sur la droite  passons le Lavoir et 
prenons la rue de L’ile sur la gauche, faisons le tour de l’église, nous retrouvons la rue de l’ile prenons à gauche, nous débouchons rue Grande que nous prenons à droite, puis encore à droite la rue de L’abreuvoir. Voulx est sympa si l’on n’habite pas dans la rue principale, je n’ai jamais vu autant de camion et des gros, dans un si petit village, comme les voitures sont garées de chaque cotés de la rue, ils ont bien du mal à passer. Les faubourgs de Voulx sont un peu long à traverser. Nous débouchons rue de Montmachoux que 
nous prenons à gauche puis la rue Chasles sur la droite, puis la rue des Limosin sur la gauche (c’est la troisième) nous retrouvons la rue de Montmachoux que nous prenons à droite sur une petite centaine de mètres et à gauche le chemin de Moret nous poursuivons notre périple dans les champs pour déboucher dans le golf de la forteresse. Nous marchons sur le chemin au milieu des greens, il n’y a aucune protection. En semaine pas de soucies, un ou deux clients, mais en fin de semaine, les golfeurs doivent être partout. J’ai vu à Montgenèvre ce que cela donnais lorsque la balle est mal tapée et que le vent la dévie. Cela fait peur… Lorsque le type à fait signe de sortir à des promeneurs ayant pénétré dans le golf par un trou du grillage pour prendre 

des photos du paysages, vue la distance, je me suis dit ; mon gars, t'es peut être un peu prétentieux. Une fois sa balle tapée, j’ai vu celle-ci prendre de la vitesse et être dévié par le vent, se diriger du coté des gens et tapée le sol pratiquement ou était la famille avant qu’il ne sorte, il l’a peut être fait exprès, mais ça ma impressionné. Quittons les hautes Alpes pour revenir en Bourgogne.  Passons devant l’ancienne ferme et empruntons la route d’accès. Traversons la D 219, prenons en face la rue de la gare, laissons un chemin sur la droite et prenons le second (rue des marais) (il se trouve un peu avant la rue des Marais partant sur la gauche. Cette rue fait un esse.) Nous longeons l’Orvane arrivons à un carrefour de chemins ou nous retrouvons la rue de la gare on se dirige plutôt à gauche (toujours le balisage jaune et rouge.) Nous apercevons le hameau de Bichereau – Férotes, passons le Lavoir et prenons à gauche la Rue de Thoury passons un bois plus ou moins
marécageux et lorsque la rue tourne sur la gauche quittons le bitume pour prendre le chemin de droite, après la lisière du bois nous retrouvons les champs. Nous arrivons aux premières maisons de Flagy, par la rue de l’Aunaie. Nous faisons le tour des extérieur du village par la rue des Bordes que l’on prend sur la droite, puis à gauche la rue de Maigrette, nous passons devant une église impressionnante par son clocher mur [Flagy est un ancien lieu fortifié. Le village a été construit au XIIe siècle sur l'ordre de Louis VII en 1130. En bordure d'un domaine royal, il est bâti selon un plan rectangulaire, comme le montrent les sept rues parallèles conduisant à la rivière franchie par sept ponts ou passerelles. Le cours de l'Orvanne a été détourné et aménagé pour
approvisionner le village en eau. Le moulin, construit au XIIIe siècle, existe encore en 2010 et représente bien la traditionnelle architecture régionale de l'époque. Curiosité sur le toit de l'église, la girouette comporte deux symboles : un coq, symbole habituel, et une tête de cochon, autre symbole, souvenir durable d'une légende locale, transmise oralement. Pendant la guerre de Cent Ans, la terrible peste noire atteignit de nombreux villages de l'Île-de-France. Touchés par l'épidémie, des habitants d'un village voisin vinrent demander secours à Flagy, où se trouvait un hôpital (Hôtel-Dieu). Mais les Flagiens refusèrent énergiquement l'entrée du village aux malades. Les pauvres gens durent chercher ailleurs un meilleur accueil. On dit que l'évêque, indigné par cette attitude de refus, ce manque de compassion, infligea une punition aux flagiens. Depuis lors une girouette en forme de tête de cochon tourne selon les vents sur le toit de l'église.
Le Moulin de Flagy
Le moulin a été vraisemblablement achevé à la fin du XIIIe siècle. Il appartint peut-être à Blanche de Castille, car Flagy faisait alors partie du domaine royal. La roue à aubes du moulin était mue par l'eau de la rivière l'Orvanne. Le moulin fabriquait la farine nécessaire aux habitants. Au commencement du XIXe siècle, une turbine remplaça la roue à aubes. Elle actionnait une dynamo qui produisait de l'électricité de force inégale. Cependant, en 1940, pendant la Seconde Guerre mondiale, le moulin fonctionna à nouveau pour faire de la farine, à l'insu des occupants allemands. En 1965, le moulin fut restauré, et il retrouva son premier aspect, c'est-à-dire, les colombages d'origine, les tuileaux noyés dans le torchis, les pierres apparentes et le pignon avec sa belle voûte. Il devint alors un hôtel-auberge sous le nom de Moulin de Flagy. wikipédia]  Coupons la D22 longeons le cimetière et prenons à gauche la rue de la Croix Saint Marc nous sortons de flagy, pour retrouver les champs. Au calvaire de la croix de Saint Marc nous prenons à droite et à celui de la Croix de Saint pierre également à droite. Nous coupons la C1 (chemin de 
Flagy à Lorrez le Bocage) Nous arrivons à Dormelles par l’allée des Noyers. Faisons un esse droite – gauche par la rue de Villemaréchal. Nous quittons ici le GRP. Prenons la rue des vignes Basses, longeons le cimetière, laissons une route sur la droite et prenons la rue de la mare aux loups sur la gauche nous traversons le hameau des Bois de Dormelles. Nous débouchons sur la D 120 que nous prenons à gauche puis Nous quittons enfin le bitume pour pénétrer dans un bois, bois et champs se succèdent. Nous débouchons sur la C11 que nous prenons un cours moment sur la gauche puis à droite un chemin en lisière de bois. Laissons un chemin sur la gauche, nous sortons du bois et longeons un champ. Le chemin fait fourche (cote 107 sur la carte), nous prenons à gauche, nous débouchons sur la C1 
faisons un esse droite gauche, nous nous dirigeons vers un bois que nous longerons. Laissons un chemin sur la gauche puis nous en coupons un autre. On contourne une carrière en exploitation, c’est très bien fait, un chemin à été crée pour contourner la carrière afin de remplacer celui qui la traversait en son centre. Nous retrouvons notre chemin à l’autre bout, nous arrivons sur la D92 que nous suivons sur un bon kilomètre puis prendre à droite une autre route la C1 avant de prendre à gauche un chemin en lisière d’un bois. Le chemin devient rue de la mare, nous arrivons de nouveau à Voulx . Nous débouchons rue de  
Vaucorneille que nous prenons à gauche, puis sur la droite la rue du chemin des Princes, coupons la D 28 (rue Grande) (D 219 sur certaine carte) prenons en face la rue des Tilleuls. Laissons la première rue sur la gauche et à la fourche prenons à droite la rue Massenet. Laissons les rues à droite et à gauche et dans un virage nous prenons le chemin de Beauregard quittons le bitume pour retrouver les champs le chemin faisant fourche nous prenons à gauche. Nous sommes de nouveau dans les champs, Coupons un chemin, et laissons ceux à droite et à gauche. Le chemin fait une première fourche nous prenons à gauche et à la seconde à droite. Nous arrivons à la cote 112 sur la carte c’est un carrefour dans la vallée Baseau, nous prenons le chemin de gauche. Nous débouchons sur la D 219b que nous prenons sur quelques mètres à droite puis la C2 à gauche jusqu’à Diant. A la fourche prendre sur la droite la rue des Sablon nous retrouvons le point de départ du GPS.